Google veut adopter une nouvelle politique en matière de confidentialité qui en réalité favorisera un croisement explicite des données.
Des liens créent déjà des passerelles entre des réseaux comme Twitter et Facebook ou justement avec Google via les blogs et les réseaux...
L'usager qui doit gérer de nombreux identifiants tend à les unifier et de fait favorise la possibilité de failles et d'intrusions par les systèmes eux-mêmes.
On voit par exemple des dispositifs nouveaux et complexifiés d'identification qui nous font passer aujourd'hui par l'édition de mots de passe de type "one time pass". Cela suppose de confier son numéro de téléphone portable et donc sous prétexte de protection de céder une nouvelle donnée...
On peut se demander au passage si complexification en matière d'identification dont se parent de nombreux réseaux n'est pas qu'une supercherie et résisterait à une attaque de l'intérieur ou même à une stratégie pensée d'un tiers peu scrupuleux...
Pour protéger notre maison, nous donnons souvent nos clés à un policier qui peut se montrer bien curieux...
Dans tous les sites et réseaux qu'il fréquente l'usager doit prendre le soin toujours renouvelé de vérifier l'étanchéité des données, de préciser les cercles auxquels il s'adresse, il lui faut maîtriser une forme d'auto-censure...
La suggestion automatique des sites et réseaux, qu'elle propose des relations ou sélectionne des "produits" témoigne de la grande capacité à nous repérer, nous situer, nous cataloguer mais aussi à nous enfermer dans un réseau "pré-choisi"...
C'est un peu le paradoxe d'un internet qui devrait et peut nous ouvrir les frontières mais nous renforce aussi dans nos choix culturels et sociaux en cloisonnant nos relations... en nous spécialisant... et peut-être en nous isolant dans des bulles culturelles et sociales.
L'une de nos difficultés, c'est de connaître nous mêmes non seulement notre empreinte numérique, mais les liens construits présents ou passés... toile qui nous relie aux autres et nous enserre...
Des liens créent déjà des passerelles entre des réseaux comme Twitter et Facebook ou justement avec Google via les blogs et les réseaux...
L'usager qui doit gérer de nombreux identifiants tend à les unifier et de fait favorise la possibilité de failles et d'intrusions par les systèmes eux-mêmes.
On voit par exemple des dispositifs nouveaux et complexifiés d'identification qui nous font passer aujourd'hui par l'édition de mots de passe de type "one time pass". Cela suppose de confier son numéro de téléphone portable et donc sous prétexte de protection de céder une nouvelle donnée...
On peut se demander au passage si complexification en matière d'identification dont se parent de nombreux réseaux n'est pas qu'une supercherie et résisterait à une attaque de l'intérieur ou même à une stratégie pensée d'un tiers peu scrupuleux...
Pour protéger notre maison, nous donnons souvent nos clés à un policier qui peut se montrer bien curieux...
Dans tous les sites et réseaux qu'il fréquente l'usager doit prendre le soin toujours renouvelé de vérifier l'étanchéité des données, de préciser les cercles auxquels il s'adresse, il lui faut maîtriser une forme d'auto-censure...
La suggestion automatique des sites et réseaux, qu'elle propose des relations ou sélectionne des "produits" témoigne de la grande capacité à nous repérer, nous situer, nous cataloguer mais aussi à nous enfermer dans un réseau "pré-choisi"...
C'est un peu le paradoxe d'un internet qui devrait et peut nous ouvrir les frontières mais nous renforce aussi dans nos choix culturels et sociaux en cloisonnant nos relations... en nous spécialisant... et peut-être en nous isolant dans des bulles culturelles et sociales.
L'une de nos difficultés, c'est de connaître nous mêmes non seulement notre empreinte numérique, mais les liens construits présents ou passés... toile qui nous relie aux autres et nous enserre...
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