jeudi 13 janvier 2011

navigateurs, googlisation, ergonomie et façon de penser...

Il se confirme qu'Internet Explorer n'a plus le vent en poupe... ce qui n'est peut-être pas si mal.
Pendant ce temps voici que Chrome, le navigateur de Google prend de l'assurance.
Au delà de sa vélocité, ce n'est peut-être pas qu'un bien tant on connait la symbiose entre l'outil, le moteur de recherche et toutes les applications... que j'utilise moi même en vous écrivant.
Ce qui préoccupe c'est la position dominante : qu'elle soit d'un groupe ou d'un autre.
Nous ne pouvons qu'exercer notre prudence et notre sélectivité.
Autre point : je me demandais, utilisant diverses suites célèbres, applications et réseaux sociaux... à quel degré les choix ergonomiques qui sont faits notamment en matière de mise en page, de distribution des onglets etc. n'influencent pas notre façon de penser ou ne guident pas nos choix...
Il y a ce qui est apparent, il y a ce qui est silencieux... la petite case à cocher que nous ne voyons pas, le menu presque masqué, l'appel à utiliser telle fonctionnalité plutôt qu'une autre...
Il n'est pas question de complot mais plus prosaïquement en général de choix commerciaux... sauf que de choix commercial en manipulation, il n'y a qu'un pas...

1 commentaire:

  1. Par exemple, ce qui me gène c'est la confusion entre moteur de recherche et site internet. Le nombre de gens qui tapent des début d'adresses avec http:// dans leur case de recherche Google plutôt que de l'écrire dans la barre d'adresse. Ici Chrome va jusqu'au bout de la confusion puisque ces deux cases ne font qu'une.

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